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Après trois ans de campagne, des soufis algériens ont remporté leur pari : créer une Journée internationale du vivre ensemble. Introduit par l’Algérie, le projet de résolution visant à la création de cette Journée a été voté à l’unanimité par l’Assemblée générale de l’ONU, le 8 décembre. La Journée internationale du vivre ensemble dans la paix sera célébrée tous les 16 mai.

Concrètement, cette Journée sera marquée par des « initiatives éducatives et des activités de sensibilisation visant à promouvoir la réconciliation, le vivre-ensemble en paix, la tolérance, la coexistence pacifique, la cohabitation harmonieuse, la compréhension et le respect mutuel, sans distinction de race, de nationalité, de sexe, de culture, de civilisation, de langue ou de religion », peut-on lire dans un communiqué.

Derrière cette résolution onusienne, l’association internationale soufie alawiyya (AISA), affiliée à la confrérie soufie alawiyya établie à Mostaganem. En novembre 2014, les membres de cette confrérie, emmenés par leur guide spirituel, le Cheikh Khaled Bentounès, décident de militer pour le vivre ensemble à l’échelle internationale. Objectif : prévenir les conflits armés et mettre en lumière les actions qui contribuent à la paix dans le monde. Au cours des trois années écoulées, le Cheikh Khaled Bentounès, aussi président de l’AISA, n’aura eu de cesse de sillonner le monde à la recherche de soutiens. Les efforts de ces militants algériens pour la paix ont fini par payer.

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